Témoignage de Nicolas Danieau : « optimiser les intrants en améliorant les rendements »
Commune
L’Herbergement (85)
Exploitation
- Polycultures-élevage de 200 hectares ;
- 75 vaches laitières ;
- Cultures : blé, tournesol et chanvre ;
- Cultures irriguées : haricot et maïs.
Pourquoi Be Api ?
Mon objectif est de lever les facteurs limitants de mes sols. Be Api me permet de mieux cerner les besoins cultures pour chacune des micro-parcelles au sein d’une même parcelle. Ce qui est impossible avec une analyse classique tous les 10 hectares.
Quelles sont vos attentes futures grâce à Be Api ?
Continuer d’optimiser mes rendements en ajustant les doses et le choix des produits en fonction du zonage.
Comment Be Api a été mis en place ?
Lancement du diagnostic en hiver 2021, avec 65 profils de sol réalisés et des fortes variabilités détectées (profondeurs de 30 cm à 2 mètres). 10 types de sols différents définis avec des réserves utiles qui varient de 20 mm à 166 mm, et 160 analyses de sols. Depuis 2022, avec un plan de fumure réalisé pour chacune des micro-parcelles, j’optimise mon poste en amendements et fertilisation en modulant précisément en fonction des objectifs de rendements.
Quelques exemples concrets ?
2022
Sur le maïs, le conseil Be Api m’a permis de réduire la fertilisation azotée pour un objectif moyen en maïs ensilage de 17 tonnes de MS à l’hectare. La dose d’urée variant de 20 à 120kg / ha suivant les zones.
En chaux, avant Be Api, je réalisai un apport systématique de 1 à 1,2T de Pulvécarb tous les 2-3 ans sur l’ensemble des parcelles. Depuis le conseil Be Api, la variabilité intra parcellaire au niveau du pH m’a permis d’être plus précis, de faire des impasses sur certaines zones et d’augmenter sur d’autres.
Pour la fertilisation P et K, les apports organiques couvrent l’ensemble des besoins des cultures. Grâce à Be Api, l’historique de mes apports organiques et minéraux, ainsi que les exportations des cultures en fonction du rendement réalisé sont pris en compte dans le calcul, ce qui permet de suivre réellement chaque année le niveau de fertilité de mes sols.
2023
Sur des céréales bien installées : la modulation de l’azote sur le blé varie de 150 et 240 unités pour un objectif potentiel moyen de 9T/ha. Be Api m’a conforté également sur l’importance des couverts et du travail du sol. Les profils de sol permettent de se rendre compte du rôle des couverts et des erreurs à éviter (semelle de labour). De plus, la restitution des couverts est prise en compte dans le calcul Be Api.
En termes d’organisation que vous apporte Be Api ?
De l’anticipation dans les décisions d’achat. Tout est organisé après la récolte avec toujours la possibilité de réajuster en cours de saison, en fonction des aléas climatiques.
Témoignage de Damien Renaudeau : « mettre la bonne dose au bon endroit »
Commune
Saint-Loup Lamairé (79)
Exploitation
- Exploitation céréalière de 200 hectares ;
- Cultures : céréales, colza et cultures spécialisées ;
- Cultures irriguées : maïs grain et cultures spécialisées (betteraves potagères, oignons porte-graine).
Pourquoi Be Api ?
Mon objectif est de lever les facteurs limitants de mes sols.Be Api me permet de mieux cerner les besoins cultures pour chacune des micro-parcelles au sein d’une même parcelle. Ce qui est impossible avec une analyse classique tous les 10 hectares.
Quelles sont vos attentes futures grâce à Be Api ?
Continuer d’optimiser mes rendements en ajustant les doses et le choix des produits en fonction du zonage.
Comment Be Api a été mis en place ?
Lancement du diagnostic en hiver 2021, avec 65 profils de sol réalisés et des fortes variabilités détectées (profondeurs de 30 cm à 2 mètres). 10 types de sols différents définis avec des réserves utiles qui varient de 20 mm à 166 mm, et 160 analyses de sols. Depuis 2022, avec un plan de fumure réalisé pour chacune des micro-parcelles, j’optimise mon poste en amendements et fertilisation en modulant précisément en fonction des objectifs de rendements.
Quelques exemples concrets ?
2022
En orge avec un printemps sec et chaud sur cultures non irriguées: le rendement moyen
réel était de 70 qtx avec des variations de potentiel intra-parcellaire de 45 à 86 qtx, j’ai
modulé sur la partie azote les doses utilisées de 97 à 151 unités.
En colza, le rendement moyen était de 35 qtx. J’ai modulé les doses de 125 unités à 200 unités. J’ai mis moins que la dose habituelle sur certaines zones et plus sur d’autres zones de la parcelle.
2023
Sur les parcelles en céréales et en colza, j’ai modulé la fertilisation P et K (0-20-20) avec des doses variant de 0 kg, 48 kg, 115 kg, 190 kg et 244 kg sur la même parcelle.
En blé, la dose d’azote varie de 120 à 180 unités.
En maïs, la dose d’azote varie de 117 unités à 212 unités. Pour un objectif moyen que j’ai défini à 130 qx. Avec un plan de fumure classique la dose habituelle était de 160 unités partout avec des zones sous fertilisées et d’autres sur fertilisées.
Pour la chaux, j’applique une dose de base avec l’ETA, puis j’ajuste ou je complète sur certaines micro-parcelles avec une formule spécifique.
En termes d’organisation que vous apporte Be Api ?
Be Api me permet de travailler efficacement avec une réactualisation tous les ans de la fertilité sur chacune des 160 zones définies sur mon exploitation dès l’été.
Retrouver l’offre de prestation Be Api potentiel sur notre plateforme
• Nicolas Viacroze • n.viacroze@cavac.fr • 06 12 29 37 64
• Vincent Gelineau • v.gelineau@cavac.fr • 06 13 58 82 71